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French story - Sandrine consulte


givememorethanone
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Sorry for the not french speaking.. you are missing one of the greatest story.

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Sandrine Consulte

Partie 1

Vêtu d’une blouse blanche, le docteur Mabert fit entrer Sandrine dans son cabinet. Sandrine était une belle femme brune, pas maigre qui avait largement dépassé la quarantaine. C’était sa deuxième visite. La dernière remontait à une dizaine de jours. Il l'invita à s'asseoir face à lui.

- Ecartez bien les jambes.

Sandrine obéit. Elle portait une jupe large et courte qui permit à Mabert de découvrir une culotte bleu ciel en soie naturelle. D'où il était, il apercevait le porte-jarretelles assorti et la peau blanche des cuisses entre bas et culotte.

- Vous me montrez votre culotte Madame ! Que ressentez-vous ?

- Je suis troublée docteur.

- Ouvrez votre chemisier, s'il vous plaît.

Elle le fit lentement sans lâcher Mabert des yeux. Elle écarta les deux pans du vêtement et ses seins, emprisonnés dans une soutien-gorge transparent assorti à la culotte, surgirent, déjà gonflés, tendus. Les aréoles étaient fripées. Mabert bandait.

- Vos seins sont magnifiques ! Mouillez-vous ?

- Je crois...

- Vérifiez.

Elle passa une main dans sa culotte et montra ses doigts luisants.

- Approchez que je sente.

Sandrine se pencha vers le bureau et tendit ses doigts humectés de mouille au visage du médecin. Il les renifla attentivement.

- Installez-vous au fond du fauteuil et écartez bien les jambes. Remontez votre jupe à la taille. Passez lentement votre index le long de votre fente sexuelle par-dessus la culotte jusqu'à ce qu'une tâche apparaisse. Touchez-vous les seins en même temps de l’autre main.

- J'aime faire ça devant vous, docteur.

- Vous êtes une cérébrale Sandrine, c'est la situation qui peut vous faire jouir. Il faut profiter de cette situation pour obtenir un orgasme satisfaisant. Vous m'avez dit que les pénétrations de votre mari vous laissaient froide, que les stimulations de votre clitoris vous laissaient sur votre faim. Par contre, lors de votre dernière visite, vous m'avez avoué prend du plaisir en vous masturbant avec un concombre.

- Docteur vous me faites rougir...

- Nous avions convenu d’utiliser cet aveu pour vous procurer un véritable orgasme.

- Oui docteur j’en au un peu honte aujourd’hui...

- La honte est un adjuvant au plaisir. Vous le savez n'est-ce pas Sandrine.

Un long silence s’établit. Le docteur fixait des yeux l'index de Sandrine qui allait et venait lentement sur la culotte de soir le long de la fente. Il constata avec plaisir que la soie devenait plus sombre et un bruit de mouillé lui parvenait aux oreilles.

- Et par l'anus Sandrine, vous avez déjà essayé ? Peut-être le concombre ?

- Docteur...

Sandrine était écarlate. Elle avait cessé ses caresses.

- On peut obtenir bien du plaisir par l'anus. Une femme chaude comme vous... Je suis certain que vous avez essayé. Ne me cachez rien… Alors ?

- Oui docteur j'ai essayé. Mais c'est tellement étrange.

- yYavez-vous pris du plaisir ?

- Je dois vous l'avouer docteur. Cette sensation étrange m'a énormément troublée.

- Sandrine, mettez-vous toute nue. Je vous ai réservé tout l'après-midi. Aujourd'hui nous allons vérifier que vous pouvez prendre du plaisir par l'anus. Je pense que cette séance sera très profitable et que vous en tirerez des émotions inhabituelles.

Sandrine se déshabilla. Quand elle ôta sa culotte, le docteur tendit la main. Sandrine la lui donna. Il porta l'empiècement humide à ses narines. Il apprécia la bonne odeur de mouille à laquelle se mêlaient quelques relents discrets d'urine. Sa bite eu un sursaut dans son slip. Il sentit la caresse suave du tissu sur son gland qui, lentement, se décalottait.

- Si j'en juge par le parfum de votre culotte, votre chatte doit sentir merveilleusement bon. Quand avez-vous fait votre toilette intime ?

- J'ai pris une douche ce matin.

- Etes-vous allés aux toilettes depuis ?

- Je suis allée faire pipi.

- Quand était-ce ?

- Je ne sais pas, il y a peut-être une heure.

- Pour cette séance, il faut que votre vessie soit bien pleine. Vous devrez sentir son poids dans votre ventre tout le long de nos expériences. J'ai préparé un thermo de thé. Vous allez le boire en entier. Du thé au jasmin…

Le docteur Mabert versa dans un grand bol au moins un litre de liquide chaud qu'il tendit à Sandrine.

- Avalez-moi ça.

- Vous êtes sûr docteur ?

- Sandrine vous devez m'obéir en tout.

Sandrine, qui n'avait gardé que ses bas de soie et son porte-jarretelles mit plusieurs minutes à tout avaler. Alors Mabert remplit de nouveau le bol d’une même quantité de thé chaud.

- Je ne peux plus boire.

Mais au prix d’un gros effort, elle réussit à tout avaler plus vite que la première fois.

- Nous allons faire l’inventaire de votre sac, souvenez-vous, nous en étions convenus… Vous avez bien respecté mes consignes n’est-ce pas ? Vous vous êtes procuré tout le nécessaire recommandé ?

Rougissante, elle renversa son sac sur le bureau. Il contenait, outre les babioles qui se trouvent dans tout sac de femme, un flacon d’un litre de gel lubrifiant chauffant de marque KY, deux jeux de boules de geishas métalliques et chromées de fort diamètre, au moins cinq centimètres, non par paire mais par trois, puis deux concombres de très grosse taille, un godemiché respectable, très long et assez large, en latex très souple, mais gonflable, puisque muni d’une poire de couleur noire, un plug anal de taille moyenne et un plus large d’environ six centimètres. Mabert avait demandé à Sandrine de venir avec tous ces objets, lors de sa dernière visite.

- Parfait Sandrine ! Et où vous êtes vous procurée tout ce matériel ?

- Dans un sex-shop. Le vendeur n’a fait aucune remarque contrairement à ce que je craignais.

- Ils savent que leur commerce est basé sur une certaine discrétion.

- Est-ce bien ce que vous vouliez, docteur ?

- Parfaitement. C’est bien ce que je vous avais demandé.

- Mais vous n’allez pas utiliser ça docteur, ce serait trop…

- Trop ?

- Mais vous allez me faire mal, me déchirer peut-être. Me rendre infirme, je ne veux pas…

Mabert l’interrompit.

- Apprenez Sandrine que les orifices du corps humain sont extensibles, en particulier le vagin et l’anus. Je ne vous estropierai pas et, rassurez-vous, vos cavités naturelles retrouveront leurs proportions naturelles en très peu de temps, grâce à une bonne gymnastique que je vous apprendrai à effectuer. Vous serez vous-même surprise par les volumes que nous pourrons y introduire. Je suis certain que vous y prendrez plaisir et que vous serez la première à vouloir renouveler ces manipulations après que l’appréhension de la première fois sera passée. J’ai pu juger d’une grande souplesse la dernière fois.

- Je m’en remet complètement à vous docteur, vous saurez comprendre mes réactions et mes limites s’il y en a.

- Quand êtes-vous allée à la selle ?

- Surprise par la question, Sandrine balbutia :

- Mais… Ce matin, oui ce matin en me levant.

- Pas de problème particulier de constipation ou de diarrhée ?

- Heu… non…

- Une selle consistante ?

- Oui docteur, mais…

- Vous le savez, nous allons solliciter votre anus et votre rectum, il faut donc qu’il n’y ait aucune surprise de ce côté. Je vais donc vous administrer un lavement pour vous nettoyer le colon et pouvoir opérer ensuite en vous sans aucune inquiétude.

- Si vous pensez que c’est nécessaire, je suis à votre entière disposition.

- Installez-vous à genoux sur la table gynécologique et prosternez-vous les bras tendus vers l’avant, les fesses relevées et offertes.

Pendant qu’elle prenait la pose, Mabert saisit une poire à lavement d’un litre munie d’un embout très long et assez épais, en forme d’ogive. Il fit couler l’eau dans le lavabo et quand il jugea que la température était parfaite, il ferma la bonde pour le remplir. Puis il pressa la poire pour la vider de l’air qu’elle contenait et plongea l’embout d’ébonite dans l’eau chaude. Un bruit incongru se fit entendre pendant tout le temps que mit la poire à reprendre son aspect gonflé et ventru. Quand elle fut pleine, il se dirigea vers Sandrine qui immobile, présentait ses fesses dans la position demandée.

- Écartez les genoux jusqu’à ce qu’ils soient bien au bord de la table.

Il posa la poire et ouvrit un grand pot de vaseline dans lequel il plongea l’index de la main droite. Il se pencha sur les fesses maintenant écartées qui laissaient bien voir l’orifice bistre de l’anus encore fripé de crainte. Il remarqua que Sandrine ne s’épilait pas ou bien ne l’avait pas fait depuis des mois. Elle était très velue, jusque autour de l’anus et une longue barbichette brune et frisée pendait sur les lèvres de son sexe. Mabert remarqua que les poils étaient humides et une odeur de femme excitée lui chatouilla délicieusement les narines. Sans précautions particulière, mais sans aucune brutalité, il plongea son index chargé de vaseline dans le rectum de la femme qui poussa un gémissement vite réprimé. L’index fut avalé comme un suppositoire et il le fit aller en tournant dans le fondement qui l’accepta avec avidité. Quand il le retira, il l’observa avec attention mais ne découvrit aucune trace suspecte. Il replongea son doigt dans le pot de vaseline et en couvrit l’ébonite de la poire qu’il avait reprise dans sa main gauche. Ensuite, il plongea dans l’anus maintenant apprivoisé la grosse canule et l’enfonça d’un seul mouvement jusque à la limite de la poire. Sandrine frissonna sous la pénétration à laquelle elle s’attendait.

- Vous allez bien serrer les fesses sur la canule et je vais presser la poire, il ne faut rien perdre, je pense qu’il faudra d’ailleurs recommencer l’opération. Puis, quand vous serez pleine, je vous mettrai le petit plug que vous avez apporté et vous garderez le liquide une dizaine de minutes pendant lesquelles nous discuterons tranquillement comme de vieux amis.

Mabert commença à presser doucement la poire et le transvasement s’opéra sans difficulté.

- Je vais retirer la poire, la remplir de nouveau et ajouter un deuxième contenu dans votre ventre.

- Docteur, je ne sais pas si je vais pouvoir tenir…

- Il le faut, si vous perdez une seule goutte, je vous assure que vous le regretterez.

- Je vais faire de mon mieux.

Mabert retira la canule, remplit de nouveau la poire tandis que Sandrine, à la torture, serrait ses sphincters comme une forcenée en laissant échapper des sanglots de temps à autre. Mabert prit son temps pour revenir vers sa patiente et introduire la canule dans l’anus qui opposa une forte résistance, mais que la vaseline contrariait dans son désir de refus. Une nouvelle fois, il vida le contenu dans le ventre de Sandrine que les coliques avaient prise. Mabert était étonné de ne voir aucun écoulement sortir le long de la canule. Il se prêta à un jeu quelque peu sadique, puisqu’il laissa la poire reprendre son volume, aspirant du ventre torturé l’eau purificatrice et la réinjectant plus rapidement. Il renouvela l’opération trois fois. Sandrine était en sueur et son corps était couvert de chair de poule. Enfin Mabert ôta la canule et poussa aussitôt le plug qui prit place dans l’anus malmené. Il essuya la vaseline en surplus dans la raie des fesses et demanda à Sandrine de se lever et d’aller s’asseoir dans le fauteuil qu’elle occupait quelques minutes auparavant. Elle sut gré au docteur de lui avoir introduit ce bouchon improvisé. Ainsi elle ne risquait pas de se souiller. Pourtant, elle serrait les fesses. On aurait mis des olives dans son rectum, elle aurait produit de l’huile.

- C’est terrible docteur, je ne peux pas tenir…

- Dix minutes montre en main, il reste à peine neuf minutes, je sais que vous tiendrez.

- Profitons de ce répit pour faire plus ample connaissance. Vous avez des difficultés pour atteindre l’orgasme, mais vous arrivez tant bien que mal à jouir en vous donnant seule du plaisir.

- Oui…. Docteur, je… C’est horrible, j’ai mal au ventre.

En effet des gargouillis ininterrompus leur parvenaient aux oreilles.

- C’est bon signe, vous serez parfaitement propre.

- Et puis, j’ai une terrible envie de faire pipi….

- Rien que de très normal avec ce que je vous ai fait boire… Votre mari sait que vous recourrez à la masturbation ?

- Je ne sais pas, peut-être…

- Qui vous a recommandé à moi ?

- Je crois que c’est lui, un jour où, désespérée, je lui faisais part de mes craintes d’être frigide.

- Vous n’utilisez que des concombres pour vous satisfaire ? Pas de gadgets achetés en sex-shop ?

- Oui docteur, seulement ce genre de légumes, j’aurais trop honte d’entrer dans de tels lieus…

- Pourtant vous l’avez fait cette semaine.

- Seulement parce que je pensais que la cause en était thérapeutique… Et parce que vous me l’avez demandé.

- Les concombres que vous utilisez sont-ils des dimensions de ceux-ci ? Demanda-t-il en désignant du regard les légumes posés sur son bureau ?

- Je… Je pense que oui…

- Même dans l’anus…

- Docteur, je…

- Même dans l’anus ? Répéta Mabert.

- Oui, même dans l’anus… Chuchota Sandrine dominée par la honte que lui procurait cet aveu.

- Vous avez donc besoin de fortes pénétrations pour arriver à l’orgasme.

- C’est bien ça docteur et mon mari est, je pense, moyennement membré.

- Y a-t-il longtemps que vous avez découvert le plaisir de profondes pénétrations anales ?

- Seulement quelques mois, après avoir regardé un film pornographique où on voyait des sodomies en gros plans.

- Vous n’avez jamais eu ce genre de rapport avec votre mari ?

- Non, je n’ai jamais voulu.

- Pourquoi ?

- Je trouvais ça sale.

- Pourtant vous avez changé d’avis.

- Avec mon mari je n’aurais jamais pu me… laisser aller vraiment… Vous comprenez… La honte…

Mabert prenait des notes et se caressait distraitement la bite sous son bureau de la main gauche à travers son pantalon. Cette femme était vraiment exceptionnelle et il fallait qu’il pousse les expériences au maximum avec elle. Il sentait depuis sa première visite que c’était un cas peu commun de nymphomanie refoulé et il voulait en profiter. C’était une femme soumise et en proie à la honte. Il avait l’intuition qu’elle se laisserait aller sur les pentes de la déchéance et de l’avilissement avec lui, qu’elle jouirait dans l’humiliation et subirait avec bonheur les turpitudes qu’il avait commencé à lui imposer. Quand au bout d’un quart d’heure il la vit se tortiller en silence, les yeux agrandis et les mains sur le ventre, il eut soudain pitié d’elle.

- Vous voulez restituer ?

Pâle comme une morte, elle demanda :

- Je n’en peux plus, où sont les toilettes.

Mabert se leva et disparut dans la petite salle contiguë à son bureau. Il en revint avec un seau en plastique dont la vue fit tressaillir Sandrine.

- Ici, devant vous ?

- Vous sentez-vous capable d’attendre d’être de retour chez vous, ou bien accepterez- vous ce seau comme récipient ?

Sandrine se leva du fauteuil et capitula :

- Comme vous voudrez.

- Montez sur la table. Demanda Mabert en y posant le seau. Vous comprenez, il faut que je voie bien ce qui se passe. Surtout n’urinez pas, il ne faut pas vider votre vessie.

Elle obéit et s’accroupit sur le seau. Mabert lui ôta rapidement le plug qui obturait l’anus et un véritable geyser jaillit de l’anus complètement retroussé et largement ouvert. Elle poussa un cri puis un authentique gémissement de soulagement alors que le déluge n’en finissait pas. Il y avait parfois une rémission de quelques secondes, mais c’était pour reprendre de plus belle et plus fort. Sandrine se laissait aller totalement. L’eau était maintenant d’une couleur douteuse et des excréments étaient charriés par ce torrent fracassant. Les bruits honteux étaient amplifiés dans le seau. Des pets foireux, chiasseux vaporisaient des embruns couleur de merde. L’odeur de merde avait maintenant envahi le cabinet du docteur Mabert. Sandrine reprenait peu à peu ses esprits et put descendre de la table. Mabert l’obligea à se pencher sur l’ouverture du seau pour respirer son odeur comme on le ferait pour un petit chien qui vient de faire une bêtise sur le tapis. Il lui maintint un bon moment la tête enfoncée dans le récipient plein de ses déjections.

- Ça fait tellement de bien de pouvoir se vider ! Dit-elle quand Mabert relâcha son étreinte. Mais je sens qu’il faut encore que…

Et sans attendre de réponse, Sandrine remonta sur la table, s’accroupit sur le seau et poussa. Une eau merdeuse et puante sortit violemment de son anus. Elle poussait toujours et des pets ignobles la faisaient gémir de honte tandis que Mabert observait l’orifice anal souillé et en pleine révolution. Quand enfin Sandrine déclara qu’il ne restait plus rien, il lui ordonna d’aller vider le seau dans les W.C. et de revenir s’allonger sur le ventre pour qu’il lui fasse une toilette de la raie. Quand Sandrine fut allongée, Mabert lui écarta les fesses et constata qu’il y avait peu de souillures, mais il remarqua que l’anus était ouvert d’une façon très encourageante et laissait voir le rose des muqueuses en son centre. Il nettoya la raie avec un linge de coton humide. Les poils abondants sur le périnée étaient trempés. Il renifla et remarqua que l’odeur était celle des sécrétions féminines. Sandrine était dans un état d’excitation extraordinaire bien que sa dignité eut été mise à rude épreuve.

- Comment vous sentez-vous Sandrine ?

- Terriblement bien, décontractée mais remplie de honte. Je n’aurais jamais pensé que la nécessité d’un besoin naturel exigeant pouvait être associé à tant d’impudeur et d’obscénité et que je prendrais un tel plaisir à être aussi sale, aussi… cochonne devant un homme que je connais à peine.

- Je suis fier de vous Sandrine, vous avez subi cette rude épreuve avec beaucoup de bonne volonté. Je vais maintenant m’occuper de votre anus. J’ai la certitude que ce petit trou peut s’ouvrir et recevoir de très gros volumes et il semble avoir des dispositions si j’en juge par son état à l’heure actuelle.

- Je suis toute à vous docteur. Je suis prête. Faites tout ce que vous voudrez. Mais docteur… j’ai une terrible envie de faire pipi…

- Chaque chose en son temps Sandrine, retenez-vous, vous ne le regretterez pas. Le travail en profondeur de l’orifice anal et même du vagin doit se faire vessie bien pleine pour en apprécier toutes les subtilités. Je vais de nouveau vous lubrifier l’anus et le rectum avec la pommade que vous avez apporté. C’est une pommade chauffante, c'est- à-dire que vous allez sentir une vague de chaleur envahir votre intérieur, rassurez-vous, elle n’est absolument pas irritante.

Mabert déboucha le flacon de lubrifiant et aboucha l’orifice à l’anus détendu. Il pressa fermement et une giclée importante de gel pénétra l’anus faisant tressaillir Sandrine. Il s’empara alors du godemiché apporté par sa patiente et le déballa. il sentait le nef. Une forte odeur de latex qui excitait l’homme. Il appliqua le gros gland à l’orifice qui était maintenant apprivoisé et ne ressentait plus aucune crainte. Pourtant, il dut appuyer fort pour que l’artifice réussisse à s’enfoncer de quelques centimètres dans le trou qui se dilatait.

- C’est étrange comme sensation, j’ai m’impression de faire caca à l’envers.

- Détendez-vous bien, poussez sur votre sphincter pour vous dilater encore plus, vous allez aimer, je le sais. Ce godemiché fait cinq centimètres de diamètre au repos, nous le gonflerons un peu quand il sera entièrement en vous. Votre anus a déjà avalé le gland, je vais pouvoir pousser lentement. Laissez-vous bien aller et n’opposez aucune résistance.

- Docteur, ça me donne envie de faire pipi. Il commence à appuyer sur ma vessie.

- C’est là le but Séverine, il faut vous retenir pour le moment, je vous dirai quand vous pourrez vous laisser aller à uriner. Ce sera quand vous serez proche de l’orgasme.

Pendant cet échange, le gode avait pénétré jusqu’au renflement qu’il avait à l’extrémité d’où sortait le tuyau flexible qui servait à insuffler de l’air. Mabert poussa encore et l’anus se referma sur ce renflement n’enserrant que le mince tuyau de caoutchouc.

- Ah ! Docteur… Je me sens complètement pleine, il est entré tout seul… Je ne l’aurais jamais cru. Ça commence à me faire tout chaud dans le ventre. Comme si cette chose était brûlante. Pourtant c’est extrêmement agréable.

Mabert ne répondit pas. Il avait empoigné la poire dans sa main droite tandis que de ses doigts de la main gauche, il écartait la raie afin de voir l’orifice accueillant. Il commença à pomper. Cinq fois. Sandrine gémit. Il pompa trois fois par séries de cinq, en laissant un court moment de répit entre chaque série.

- Ça commence à être vraiment gros, j’ai un peu mal…

- Je vais dégonfler un peu et le faire aller et venir.

Mabert ouvrit un instant la soupape et la pression diminua, mais très peu, dans le rectum de Sandrine. Il tira le gode vers l’arrière faisant ressortir le membre sur sa moitié et le renfonça. Il renouvela l’opération pendant un long moment mais subrepticement, il actionnait la poire. L’anus était maintenant distendu à tel point qu’il ne formait plus qu’un bracelet de chair blanche autour de l’intrus. Encore quelques coups de pompe… Sandrine était en proie à un vif plaisir auquel se mêlait une douleur confuse dont elle ne pouvait déterminer la cause exacte. Était-ce le diamètre de la dilatation de son anus ou bien la pression régulière du gode sur sa vessie pleine ? Pour permettre au monstre (car c’était bien un monstre qui maintenant lui remplissait le cul), pour permettre au monstre de se faire de la place, elle poussait sur ses sphincters du plus profond de son ventre. Mabert remarqua avec un sourire que sa chatte baignait dans la mouille et que parfois un jet incontrôlé d’urine venait s’ajouter à ce marécage de chair rouge que les poils collés et trempés ne cachaient plus. À chaque enfoncée de l’imposant objet, un jet dru de pisse venait maintenant tremper la table et une mare se formait sur le carrelage.

- Nous allons changer de position, mettez-vous sur le dos. Demanda Mabert en ôtant brusquement le gode du trou dilaté. Sandrine, gémissante se retourna. Mabert prit ses genoux et les plia jusqu’à les faire reposer sur ses épaules. Pour se faire, il l’aida en lui soulevant le cul. Il écarta les genoux et les attacha au moyen de lanières de caoutchouc de chaque côté de son visage. Dans cette position, elle offrait de façon particulièrement obscène sa vulve poilue et trempée ainsi que son anus aux regards du médecin lubrique. Mabert reprit le gode et le plongea dans l’anus qui avait acquis une grande souplesse, il poussa à fond.

- C’est bon docteur, mais ma vessie…

- Ne vous inquiétez pas, laissez-vous aller si vous ne pouvez plus tenir. De toute façon, vous vous pisserez dessus ainsi disposée.

- Oh ! Docteur, c’est sale… Je ne peux plus me retenir.

Mabert pressa trois fois la poire et ressortit le gode pour le rentrer aussitôt. Sandrine poussa un cri de gorge et un jet d’urine s’écoula de sa chatte pour arroser ses seins. Au bout d’une dizaine d’allers et retours, le jet, à chaque enfoncée atteignait le visage de Sandrine qui ne pouvait rien faire pour éviter cette douche chaude. Ses cheveux étaient maintenant ruisselants et baignaient dans une mare d’urine.

- Oh ! Je pisse… Je me pisse dessus… Oh docteur, vous me faites tant de bien… C’est bon de pisser en jouissant… je vais jouir docteur, je vais jouir, ramonez-moi plus vite, gonflez encore si vous voulez… AAAAhhhh ! Je sens vraiment que mon cul est dilaté comme une baudruche, j’espère qu’il ne va pas éclater… Oh docteur, si vous saviez comme c’est bon. Excusez-moi, je dis n’importe quoi… Oui, remplissez-moi le cul, plus vite !... OOOOHHH OUI ! Et je ne peux me retenir de pisser…

- Pissez Sandrine et dites toutes les insanités que vous voudrez, laissez-vous complètement aller physiquement et psychiquement. Si vous pensez que dire des obscénités vous aide à jouir, dites… Croyez-vous que ça vous aiderais si moi aussi…

- Oh oui docteur, dites-moi des cochonneries…

- Alors, tu vois que ton trou du cul peut recevoir les plus grosses bites, même une bite de cheval serait à l’aise dans ton cul de jument… D’ailleurs tu pisses comme une jument, pousse, pisse ! Pisse fort, je veux voir ta pisse t’arroser le visage. Comme une salope ! La salope que tu es. Je te bourre le cul ! Tu comprends pourquoi je t’ai fait un lavement ? Tu n’aurais pas pu te retenir de chier, grosse truie.

- Oh docteur, oui, je suis une salope, je n’ai jamais tant joui, regardez comme je pisse, ça n’en finit pas, ma vessie est toujours pleine et vous l’écrasez à chaque fois que vous me fourrez à fond.

- Ouvre la bouche, avale ta pisse, je veux que tu en connaisses le goût. Tu mouilles du cul, ce n’est pas le lubrifiant qui mouille le gode mais toutes les glaires que la friction sur tes muqueuses provoque. Tu chies la mouille.

- Arrrgghh ! je bois, j’aime ma pisse docteur…

Les gémissements devenaient plus forts et Sandrine perdit connaissance tout en continuant de se pisser sur le visage. Mabert dut retirer le gode quand il sentit que la femme était inerte. Il lui passa un flacon de sels sous le nez et elle reprit connaissance, un sourire ravi sur son visage ravagé. Son anus béant refoulait des coulées translucides de glaires luisantes. Mabert avait enfilé un gant de chirurgien en latex et enfoncé ses quatre doigts dans l’ouverture hospitalière.

- Sandrine, je vais vous fister. C’est assez rare chez une femme de pouvoir recevoir un poing masculin avec une préparation aussi rapide. Quand je vous disais que vous aviez des dispositions.

- Docteur, je me sens tellement ouverte que je veux tout ce que vous voulez.

Mabert vissa ses doigts et joignit son pouce. Sans aucune résistance, il s’enfonça au- delà du poignet. Il tourna lentement dans la caverne et progressa encore de quelques centimètres. Il était enfoncé sur presque tout l’avant-bras et Séverine, les narines pincée, pâle comme la mort, attendait un nouvel orgasme. Quand Mabert entreprit d’un seul coup de la ramoner à une vitesse effarante, elle hurla et quand il retira son poing fermé pour le remettre tout aussi fermé sans rencontrer la moindre résistance, ce fut du délire. Il recommença plusieurs fois de suite l’opération de plus en plus vite, de plus en plus profond. Sandrine pissait maintenant un jet continu d’urine car sa vessie se remplissait rapidement. Elle avait bu tant de thé !

Encore elle perdit conscience. Le flacon de sels la ramena à elle et à un nouvel orgasme tandis que Mabert qui n’avait pas ôté son bras du rectum souple lui ramonait toujours le cul mais plus lentement. Il la fit jouir ainsi cinq ou six fois en l’enculant violemment durant au moins vingt minutes.

Enfin il la libéra. Tandis qu’elle restait allongée de tout son long pour retrouver ses esprits, Mabert s’était dénudé et lui présentait sa queue à la bouche. Sandrine sans rien dire prit le membre entre ses lèvres et goûta le goût de mâle excité associé à quelques effluves âcres d’urine que recelait le gros champignon sous le prépuce, au fur et à mesure qu’elle épluchait le gland avec ses lèvres et sa langue. Mabert ne résista pas longtemps au traitement et éjacula en hurlant dans le gosier de Sandrine qui avala toute la sauce crémeuse du docteur.

Plus tard, rhabillés, après une longue gymnastique anale pour retonifier les muscles mis à rude épreuve, ils discutaient face à face.

- Docteur, je crois que vous m’avez fait découvrir ma nature perverse. Je suis presque guérie… Pouvons-nous prendre un nouveau rendez-vous ?


Partie 2


- Je vous propose de nous revoir dans une semaine pour tout l’après-midi. Seulement vous devrez effectuer une préparation avant d’arriver.

- Que devrai-je faire docteur ?

- Vous devrez arriver ici déjà complètement dilatée. Vous aurez dans votre rectum une aubergine de huit centimètres de diamètre que vous aurez complètement avalé de sorte qu’on ne remarquera rien, même en vous écartant les fesses. Vous avez une semaine pour vous entraîner et apprendre les réactions de votre anus à une telle sollicitation. Ce ne sera pas facile, Sandrine, mais je le veux.

Mabert se rendit dans la petite salle de soin attenante à son bureau et revint avec une aubergine qui parut gigantesque à Sandrine.

- Cette aubergine est en latex, parfaitement imitée. Vous pourrez vous entraîner avec de vraies légumes, plus petits au départ, mais de plus en plus gros, jusqu’à arriver à supporter celle-ci que vous pouvez emporter. Reprenez le flacon de lubrifiant et n’hésitez pas à en faire provision à l’occasion.

Sandrine la prit avec une certaine crainte, ou plutôt un certain respect et la glissa dans son sac.

- Il est bien entendu que vous introduirez d’abord le plus gros bout afin que, remontée dans votre rectum, elle soit dissimulée par votre anus refermé complètement. De plus, vous aurez la vessie pleine, pleine à craquer, vous boirez deux litres de thé, comme tout à l’heure, et ce, au moins une heure avant de partir de chez vous. Vous viendrez en train ou en bus. Pas de taxi ou de voiture personnelle. Croyez-vous pouvoir y arriver Sandrine ?

- Je ferai tout pour cela docteur, vous pouvez compter sur moi. Le plaisir que j’ai pris avec vous fut une telle révélation que je ne désire en rien vous décevoir.

- Vous aurez du temps pour vous exercer ?

- Je ne fais rien de mes journées et mon mari sera en déplacement y compris ce week- end.

Mabert se demanda si c’était une invite. Il préféra s’en tenir au plan établi. Sandrine bien qu’épuisée, se sentait ragaillardie et rentra chez elle en voiture en pensant à cette séance fabuleuse.

- Je savais que je finirais par jouir de l’anus…Jubilait-elle. Mais ce docteur Mabert, quel cochon !

Il y eut juste un petit incident pendant le trajet. Se sentant ballonnée, elle voulut lâcher un gaz qui la soulagerait. Au lieu de çà, elle sentit avec horreur sa raie s’engluer et elle fut bientôt assise dans une mare liquide qui s’était échappée de son cul. Elle porta les doigts pour se rendre compte et ramena sa main trempée d’un liquide gluant, translucide et inodore. Elle s’était soulagée d’une grande quantité de glaires que le traitement imposé à son rectum irrité avait produit en quantité importante. Sa culotte et même sa jupe étaient trempées. En arrivant chez elle, elle passa dans la salle de bain et expulsa un nouveau paquet de liqueur anale dans le bidet tout en urinant abondamment. Elle toucha son anus sensible et gluant déjà tonique et goûta sur ses doigts ses sécrétions auxquelles elle ne trouva aucun goût. Ensuite elle prit une douche et se changea.

Mardi suivant, Sandrine attendait dans la salle d’attente du docteur Mabert. Elle avait été introduite par une femme entre deux âges qui lui avait dit :

- Le docteur va vous recevoir dans quelques minutes, patientez un peu, ce ne sera pas long.

L’attente durait depuis un quart d’heure et Sandrine commençait à trouver le temps long. De plus elle était étonnée par la présence de cette femme qui semblait être son assistante ou sa secrétaire et qu’elle n’avait pas vue les deux premières fois. Elle avait préféré rester debout tant elle craignait que la position assise n’ait de fâcheuses conséquences. Jusqu’à présent, tout s’était bien passé. De plus, elle mouillait abondamment et avait peur que ses sécrétions d’une abondance inhabituelle ne tachent sa jupe serrée.

Enfin, après vingt longues et interminables minutes qu’elle passa à regarder par le fenêtre, le docteur Mabert fit son apparition et dit :

- Bonjour Madame Sarineau, veuillez vous donner la peine d’entrer dans mon cabinet…

Quand Sandrine passa devant le docteur, ils se serrèrent la main. Le docteur passa derrière son bureau et l’invita à s’asseoir dans le fauteuil disposé en face. Sandrine s’installa précautionneusement et cala ses bras sur les accoudoirs pour soulager le poids de ses fesses dans le fauteuil.

- Alors Sandrine, comment allez-vous aujourd’hui ?

- Docteur, si vous saviez…

- Je sais Sandrine, vous avez le rectum farci par l’aubergine que je vous ai confiée, n’est-ce pas ?

- Oui docteur, elle est complètement introduite comme vous l’avez demandé et on ne se rend compte de rien même en regardant entre mes fesses, j’en ai fait l’expérience accroupie sur un miroir.

- Avez-vous bu comme je vous l’ai aussi demandé ?

- Plus de deux litres de thé docteur. J’ai une terrible envie de faire pipi. Tout mon bas- ventre est sensibilisé et même un peu douloureux, disons plutôt que je ressens une gêne. Ma vessie est extrêmement comprimée par l’aubergine.

- Quand avez-vous réussi à introduire l’aubergine ?

- J’ai essayé dès mon retour chez moi, après ma dernière visite. Mais je n’ai réussi à l’introduire que vendredi matin, et non sans efforts. Je me suis exercée d’abord avec des légumes que j’ai achetés pour ça. Des concombres, bien choisis et des aubergines de toutes tailles. Les plus petites ont été relativement facile à insérer. J’ai vécu dilatée pendant toute la semaine. J’avais tout le temps quelque chose dans l’anus. Comme vous me l’avez appris, j’ai fait des exercices de tonification des sphincters plusieurs fois par jour et après chaque longue période de dilatation. Le matin en particulier, car je dormais bien pleine.

- Pas de problèmes pour aller à la selle ?

- Oh non docteur, chaque matin, j’expulsais l’aubergine qui me comblait au dessus des toilettes. Quand je l’avais en main, après parfois plusieurs minutes, le reste suivait sans problème. Le matin le légume était un peu… souillé, très peu… et je profitais de l’occasion pour me faire un lavement et une toilette complète.

- Pas de douleurs, de crampes, de saignements ?

Aucunement, mais mon anus produit un liquide gluant, incolore, inodore et sans saveur particulière.

- Vous l’avez donc goûté ?

- Heu… Oui docteur, ce n’est pas dangereux ?

- En aucune façon. Il s’agit de sécrétions anales que votre rectum soumis à un traitement inhabituel produit pour se lubrifier et donc se protéger de cette forme d’agression en fait. Vous mouillez du cul Sandrine…

- Oh docteur ! Vous avez de ces expressions !

- Mais pourtant, c’est bien ce qui vous arrive. Votre trou du cul est excité par toutes ces manipulations voluptueuses et il réagit. Ne mouillez-vous pas de la chatte quand vous êtes excitée ?

- Justement docteur, je crois que je mouille en permanence depuis une semaine. Ma semaine a été une période de stimulation sexuelle permanente.

- Racontez-moi en détail cette période, Sandrine.

- Je me couchais tous les soirs avec une aubergine complètement enfoncée dans l’anus, sauf la première nuit où j’ai pensé que le gros plug suffirait. J’ai vite compris que je pouvais contenir plus et j’ai acheté quelques beaux légumes au marché. Des concombres énormes et des aubergines de toutes tailles. L’une était même plus grosse que celle en latex que j’ai en moi en ce moment. Et puis je n’ai jamais autant bu de thé que durant cette semaine, plusieurs litres par jour. Ma vessie était toujours pleine et le premier jour, je passais mon temps à aller faire pipi aux toilettes.

- Cette situation n’était pas satisfaisante, Sandrine, comment l’avez-vous résolue ?

- J’ai mis une alèze sous le drap de mon lit et je n’avais plus besoin de prendre de précautions. Quand je ne pouvais plus me retenir, je me laissais aller. Vous savez docteur, rien que de sentir le pipi sortir, me faisait jouir très fort.

- C’est normal Sandrine, votre urètre était soumis à de fortes contractions que son relâchement brutal accompagne ne sensations voluptueuses. Mais je suppose que vous ne vous contentiez pas de cette simple fonction naturelle pour vous donner du plaisir…

- Non ! J’ai compris grâce à vous que c’est encore meilleur quand la vessie est compressée. Je poussais donc très fort pour me relâcher complètement et je m’enfonçais très loin et très fort le plus gros concombre dans l’anus. Tout en urinant, complètement béante je me mettais plus de trente centimètres dans le ventre. Docteur, j’ai honte de vous l’avouer, mais je me regardais en même temps dans un miroir sur lequel j’étais accroupie. Si vous aviez vu ce retroussis de viande rouge qu’était devenu mon anus… Et la violence de mon envie qui n’en finissait plus de jaillir. Je me disais chaque fois que j’allais me retourner les tripes et la… vulve tellement tout était ressorti.

- Vous pouvez employer un vocabulaire trivial Sandrine, je ne serai pas choqué. Nous savons tous deux que c’est excitant. Dites « chatte », « cul » ou même « trou du cul » si vous le désirez.

- Heu oui, docteur, ma chatte semblait vouloir sortir de mon ventre, entre mes poils, tellement je forçais. Mon trou du cul était béant. C’était comme un accouchement… Docteur, je deviens folle depuis que vous m’avez appris la jouissance de cette façon. Je ne peux plus m’en passer et je pense sans arrêt à votre poing qui m’a fait hurler de bonheur en me ramonant le cul. Je me fais peur maintenant. Je suis comme une bête. Voilà je suis devenue l’esclave de mes jouissances anales. Suis-je normale ?

- Vous êtes parfaitement normale, Sandrine. La rassura Mabert que ces évocations faisaient bander comme un âne. Vous avez été longtemps frustrée du plaisir, de la volupté. Vous venez de découvrir quelque chose de nouveau, vous rattrapez le temps perdu. Voilà tout ! On n’a que le bonheur que l’on sait se donner. Je crois que vous appliquez cette directive à la lettre. Profitez de vos dispositions et de la souplesse de vos orifices. Je vois peu de femmes qui sachent, comme vous, en tirer parti et plaisir. Il n’y a aucun danger si vous le faites sous mon contrôle régulier. Je vérifierai régulièrement les progrès de votre trou du cul. Mon poing sera au service de votre plaisir Sandrine.

- Merci docteur, vous me réconfortez. Je me demandais si j’étais normale. Je porte en moi votre aubergine depuis vendredi soir…

- Vous voulez dire que vous vous êtes introduit cette aubergine par le trou du cul, je suppose.

- Heu… oui, dans mon cul, nuit et jour. Et nous sommes mardi après-midi. Depuis presque quatre jours et quatre nuits. Je ne la retirais que pour mes gros besoins.

- Vous voulez dire pour chier… Coupa Mabert que le trouble de Sandrine amusait.

- Heu oui, pour chier et faire un peu de toilette le matin. Je l’ôtais aussi plusieurs fois dans la journée pendant que je pissais dans mon lit. Encore était-elle remplacée dans mon cul par un énorme concombre qui, à cause de sa forme plus pointue, pouvait pénétrer plus profondément. Mais dès que ma vessie était moins gonflée, je la remettais complètement et buvais un grand bol de thé.

- Une espèce de cercle… vicieux en quelque sorte ! Coupa Mabert en souriant.

- C’est bien le mot docteur ! Vicieux ! Oui. Mais tout de même, je ne suis jamais parvenue à jouir aussi fort qu’avec votre main.

- Je ne peux quand même pas passer mes journées et mes nuits avec vous pour vous fister. Mais je vais réfléchir à une solution qui pourrait vous apporter quelque satisfaction. Donc, actuellement, vous avez l’aubergine en latex que je vous ai confiée bien au chaud dans votre cul ?

- Oui docteur et comme ma vessie est prête d’exploser, je commence à ressentir une gène importante. Il faudrait que je fasse pipi… Avec votre permission.

- Vous allez vous déshabiller et vous allonger sur la table derrière vous. Vous viderez votre vessie, ne craignez rien.

- Docteur… Vous allez me remettre votre main ?

- N’anticipez pas, voulez-vous. Nous allons bien nous occuper de ce joli trou du cul si vorace, si glouton. Nous ne le laisserons pas sur sa faim, ne craignez rien.

Sandrine, ravie, le visage rayonnant, se dénuda. Quand elle ôta sa culotte, elle en retourna le fond et le regardant :

- Voyez ce que je vous disais, c’est une véritable éponge. Elle est trempée.

Mabert tendit la main et Sandrine y déposa la lingerie. Il la regarda avec attention puis la renifla bruyamment.

- Votre culotte sent très bon, Sandrine. Aussi bien devant que derrière. Je crois que vous mouillez beaucoup, mais vous avez aussi pissé un peu dedans…

- Oh docteur !

- Le délicieux bouquet d’urine ne trompe pas…

- Je… ne me suis pas rendue compte… Je suis confuse…

- Ma prescription vous exposait à ces petits inconvénients, ce n’est pas bien grave. Avez-vous mouillé vos bas, montrez… Sandrine rougit quand elle constata que le haut de ses bas était taché et imbibé de belles auréoles d’humidité.

- Je me sens sale docteur…

- Mais non, vous êtes une cochonne mais vous n’êtes pas sale. Vos poils sont aussi trempés, ce sera très agréable pour moi. J’aime les parfums élaborés dans une chatte et qui restent longtemps dans les poils. Ce n’est pas sale, c’est simplement excitant. Ne reniflez-vous jamais le fond de vos culottes.

- Docteur !

- Votre trouble est la réponse. Allongez-vous sur le dos.

Sandrine obéit et le docteur vint s’installer au bout de la table entre ses cuisses relevées. Il prit délicatement chaque jambe et les posa dans les étriers disposés, à cet effet, de part et d’autre. Sandrine frémit. Mabert empauma la chatte de Sandrine et constata l’état marécageux de l’entrecuisse. Il appuya sur l’anus de l’index. Celui-ci était fermé, mais il sentit tout de même une présence qui le repoussait légèrement vers l’extérieur dans la raie duveteuse. Il se pencha sur le ventre et sembla plonger dans une longue observation. Sandrine sentait son souffle sur sa peau. En fait, il respirait le parfum capiteux que dégageait la chatte et qui, peu à peu, envahissait la pièce surchauffée. La fente était ouverte entre les grosses lèvres recouvertes de poils noirs collés en mèches et luisait en reflétant la lumière crue de la lampe que Mabert avait orienté vers le ventre de Sandrine. Le clitoris était érigé et sorti de son capuchon retroussé à la base. Le vagin béait mollement comme le calice d’une tulipe rouge. Un filet huileux, épais et blanchâtre s’en écoulait et se perdait dans l’épaisse villosité qui encombrait le périnée. L’anus quoique fermé témoignait d’un relâchement peu ordinaire, mais, à le voir, on n’aurait pas imaginé ce qu’il contenait.

Mabert recueillit, de l’index et du majeur réunis, le flot qui coulait au bas de la fente. Le liquide épais coula du bout de ses doigts jusque sur la paume. Il le flaira un moment et approcha sa main du visage de Sandrine.

- Sucez mes doigts.

Sandrine, sans hésitation pris les doigts dans sa bouche et en goûta la fragrance de sa langue chaude. Plusieurs fois Mabert recommença l’opération. Puis il palpa le ventre. Sandrine tressaillait chaque fois qu’il appuyait sur sa vessie qu’on sentait tendue, pleine comme une outre gonflée. Enfin, il passa sous le sexe et de la pulpe du doigt, il caressa l’anus qui n’avait besoin d’aucune lubrification. Son index put s’introduire sans difficulté et il sentit la forme de l’énorme intrus qui dilatait les sphincters élastiques. Il le fit glisser autour de l’extrémité du faux légume en écartant peu à peu la chair qui y était collée. Un deuxième doigt puis un troisième rejoignirent le premier. Il les glissa le long de l’aubergine jusqu’à la jointure avec la paume. Sandrine, les yeux fermés, gémissait doucement. Maintenant, seul le pouce était à l’extérieur de l’anus distendu. Les doigts en décollant quelque peu les muqueuses de leur habitant inhabituel avaient permis aux glaires gluantes accumulées au fond de l’ampoule rectale de se répandre et de s’écouler doucement par l’orifice naturel. Mabert remarqua que cette fois elles étaient légèrement colorées. L’intestin avait rempli son rôle et l’énorme bouchon empêchait le rectum de se remplir de matière. Il faudrait prévoir de quoi ne pas salir la table quand elle expulserait l’aubergine. Il décida de faire appel à Mireille, son assistante et souvent complice.

- Nous allons procéder à l’expulsion de l’aubergine, Sandrine. Vous êtes remarquablement dilatée. Je me demande si je ne pourrais pas ajouter le pouce aux quatre doigts pou entourer l’aubergine dans votre cul.

- Oh oui docteur ! Je me sens tellement bien quand je suis pleine comme maintenant. Allez-y…

- Auparavant, je vais me déshabiller. Ça ne vous dérange pas Sandrine ?

- Oh non, vous serez mieux nu. Vous ne risquez pas de tacher vos vêtements au cas où je ferais pipi sans le vouloir.

Mabert ôta ses doigts de l’anus, les essuya sur sa blouse et se dénuda. Sandrine le regardait en coin et fut étonnée par la taille de son sexe tendu. Elle n’avait pas très bien réalisé quand elle l’avait sucé la dernière fois. Elle ne put contenir sa surprise :

- Mais qu’elle est grosse ! Je n’ai jamais vu ça.

- Elle ne vous remplirait pas si bien que cette aubergine ou mon poing, mais je pense qu’elle serait capable de vous procurer un orgasme satisfaisant. Je vais avoir besoin de l’aide de mon assistante.

- Mais je ne…

- Elle a une grande habitude des soins que je donne à mes patientes. Votre pudeur n’a rien à craindre. Et puis je le veux ainsi.

Il appuya sur l’interphone et dit :

- Mireille, j’ai besoin de vous.

Il revint entre les cuisses de Sandrine et glissa sans aucune résistance apparente ses cinq doigts comme s’il voulait empoigner la tête de l’aubergine. Un tressaillement et un cri retenu furent les seules réactions de Sandrine. Quand Mireille entra, elle se dirigea vers la table et demanda :

- Me voici docteur, que dois-je faire ?

- Sandrine a le cul farci par l’aubergine que vous connaissez bien et j’ai besoin de votre aide pour l’expulsion. Sa vessie est pleine à craquer et je pense que son colon est proche de la libération. Quand elle pondra l’aubergine, il y aura sûrement une défécation incontrôlée.

- Oh ! s’exclama Sandrine.

- J’ai l’habitude, ne craignez rien. Répondit Mireille à son intention. Ne vous crispez pas, vous allez pousser, sans vous angoisser. Vous allez vous libérer le ventre de tout ce qui l’encombre. Vous êtes chez un médecin et vous subissez un traitement auquel nous sommes habitués. Pas de honte, pas de crainte. Ayez confiance tout va bien se passer. De plus, je sais que vous éprouverez un grand plaisir à vous soulager. Vous devez commencer à en avoir envie.

- Mireille, vous allez glisser votre main dans le vagin de Sandrine et du bout des doigts, vous repousserez l’aubergine vers la sortie. Inutile de lubrifier, Sandrine le fait naturellement.

Mireille joignit ses doigts en pointe et pénétra le vagin lentement. Elle rencontrait une résistance importante car le légume prenait ses aises en aplatissant le conduit contre l’os du pubis. Il lui fallut donc d’abord repousser l’envahisseur vers l’arrière. Elle sentait parfaitement les doigts du docteur qui tournaient autour de l’extrémité de l’aubergine. On voyait que Mireille savait y faire. Elle se ménagea ainsi un passage suffisant pour ses doigts et il lui fallut encore un long moment pour introduire sa paume qui ne rentra pas entièrement.

- Je sens l’extrémité supérieure de l’aubergine, je peux commencer à pousser ?

- Allez-y lentement.

Sandrine, pendant toute l’opération avait poussé de petits gémissements dont on ne savait pas si la cause en était la douleur ou le plaisir. En tous cas, jamais elle n’eut un mouvement de recul ou de refus. Elle semblait consentir à tout. La main de Mireille lui avait dilaté merveilleusement le vagin et ses conduits naturels étaient réellement forcés comme lors d’un accouchement difficile. Elle sentit les doigts se replier et repousser fermement l’aubergine à travers la mince cloison qui sépare le vagin du rectum. Mabert écartait ses doigts pour élargir l’orifice naturel. Entre ceux-ci on voyait parfaitement l’extrémité luisante de l’aubergine qui avait commencé à progresser lentement sous les lentes poussées efficaces de Mireille. En même temps qu’elle repoussait le légume, Mireille en profitait pour investir la place libérée. Bientôt toute sa main fut dans le vagin et ses doigts butèrent contre l’utérus gluant de Sandrine. Mireille en rouée qu’elle était appuyait de sa main libre sur le ventre tendu et comprimait ainsi la vessie. Mabert comprit que le moment était venu. L’aubergine était ressortie de quatre ou cinq centimètres dilatant de façon monstrueuse l’anneau de Sandrine. Il ôta ses doigts et posa sa main gluante dessus afin d’en retarder la sortie.

- Sandrine, vous allez pousser très fort, comme aux toilettes.

Le ventre de Sandrine se contracta et elle émit un cri de gorge rauque suivi d’une monumentale giclée de pisse qui monta à plus d’un mètre au-dessus de son ventre avant de retomber sur le docteur qui ne s’en formalisa pas.

- Parfait, poussez encore.

Sandrine ne se rendit pas compte de suite que chaque effort était accompagné d’un jet de pisse chaude. C’était les grandes eaux de Versailles. L’accouchement était toutefois contrarié par Mabert qui empêchait l’aubergine de sortir. L’ourlet de chair rouge autour de l’aubergine était souillé de glaires brunâtres. Mireille regardait ce spectacle avec avidité. La complicité avec Mabert était parfaite et elle savait que si Sandrine devait atteindre des sommets de volupté, elle aurait sa part dans ce simulacre de soins intensifs. Sandrine gémissait comme une possédée et quand Mabert ôta sa main qui tenait l’aubergine, ce fut extraordinaire. L’anus se retroussa et expulsa avec violence l’aubergine souillée de merde à sa grosse extrémité. Le rectum ressortit lui aussi par l’ouverture brutalement révélée et forma un enroulement de viande rouge souillée à l’extérieur. Pendant ce temps, Mireille avait fermé son poing et ramonait bestialement le vagin qui pouvait maintenant se dilater et prendre la place laissée libre. Elle cognait au fond de la grotte ébranlant la vessie qui se libérait en continu par l’orifice de l’urètre qui était presque accolé à son bras. Le jet était ainsi propulsé de façon anarchique entre les cuisses toujours écartelées. Dans le même moment, Sandrine émit un pet qui se termina en gargouillis infâme et fut suivit par un paquet de matières fécales assez molles qui souilla l’anus retourné et s’écoula le long de la raie. Les narines de Mireille frémirent. Alors Mabert pour conclure l’accouchement en beauté poussa son poing fermé dans l’ouverture béante et remonta le long du bras de son assistante. En alternance avec celle-ci, il fit aller et venir son bras dans le cul souillé. Sandrine perdit connaissance. L’orgasme l’avait réellement terrassée. Les deux complices qui lui fourraient les trous s’embrassaient à pleine bouche au dessus du corps inerte. Mireille pourtant retira sa main du vagin qui péta grassement lors du retrait et dit au docteur :

- Elle est dans les vaps, elle ne sent plus rien, retire ton bras, tu sais ce que je veux faire avant qu’on ne la fasse revenir à elle.

- Je sais, mais je ne participerai pas. Je vais me laver les mains. Tu es vraiment une salope.

Mabert se retira et l’anus horriblement dilaté laissa sortir un nouveau paquet de merde encore plus molle. Mireille se jeta entre les fesses souillées et se goinfra des déjections aspirant, postillonnant et léchant ce que produisait le trou révulsé. Mabert la regardait par-dessus son épaule, penché sur le lavabo, vaguement excité mais plutôt écoeuré. Il avait du mal à comprendre ce penchant scatologique de son assistante.

Un long moment plus tard, quand la raie dévastée fut luisante de salive, Mireille se releva hagarde et se dirigea vers le lavabo où elle fit une légère toilette et se rinça la bouche avec de l’eau de Boto. Mabert, cependant, passait un flacon de sels sous les narines de Sandrine qui revint à elle pâle comme une morte.

- Oh docteur…

- Ne dites rien, reposez-vous. Vous avez eu le plus formidable orgasme de votre vie. Mireille va vous faire un peu de toilette, vous en avez besoin.

Mireille, de nouveau présentable revint avec des linges mouillés et des serviettes. Elle fit une toilette minutieuse de la raie, de l’anus et même à l’intérieur ainsi que de la fente vulvaire. Elle essuya ensuite soigneusement, avec la serviette, Sandrine qui tressaillait à chaque attouchement tellement sa sensibilité était accrue.

- Voilà, vos trous sont comme neufs, ils sont de nouveau présentables.

- Comment vous sentez-vous ? Demanda Mabert.

- Délicieusement endolorie et repue. Soulagée aussi, j’ai du vider ma vessie, non ?

- Effectivement, vous avez pissé comme une vache et même chié abondamment. Voilà pourquoi Mireille vous a fait un peu de toilette.

- J’ai honte…

- Ne réagissez pas ainsi, vous avez joui comme une folle et longtemps. Mireille peut en témoigner. L’orgasme anal, comme son nom l’indique, se passe au niveau de l’anus. L’anus a une fonction bien précise à remplir, ou plutôt à vider. Quand on jouit, il n’y a plus de barrière, plus de retenue. Votre orgasme s’est accompagné de l’exécution de fonctions naturelles. N’ayez pas hontes de ces fonctions, elles sont… naturelles, justement. Sachez que c’est un rare privilège de jouir au point de les oublier.

Il lui essuya le visage couvert de sueur avec une serviette.

- Votre chatte est aussi accueillante que votre cul. Vous avez avalé toute la main de Mireille.

- C’était extraordinaire, docteur. Je ne savais plus ce qui se passait. Une telle volupté…

- Il faut laisser vos orifices se reposer un moment. Vous savez, le spectacle de votre jouissance nous a, Mireille et moi, fortement émus et… émoustillés.

Sandrine baissa les yeux vers la queue de Mabert et remarqua que le long manche était tendu et décalotté. Un filet de liquide translucide s’en écoulait et glissait lentement le long du membre formidable.

- Peut-être voulez-vous… Comme l’autre jour, avec ma bouche…

- Et Mireille ? Vous vous proposez de la mener à la jouissance aussi ?

- Pourquoi pas ? Répondit Sandrine par défi.

- Mireille et moi avons nos habitudes, vous allez pouvoir en juger. Elle a les mêmes dispositions que vous pour la dilatation mais n’a plus votre sentiment de honte. Vous allez voir comme elle aime exhiber ses trous. Mireille, que diriez-vous d’une petite démonstration de la souplesse de votre anus.

- Mais monsieur, mon anus est toujours disposé à recevoir vos visites les plus importantes… Dois-je me mettre nue ?

- S’il vous plaît, Mireille, mais gardez vos bas.

- Bien monsieur. Allez-vous faire la démonstration « king size » ?

- Vous vous en doutez, il faut montrer à Sandrine ce à quoi je veux qu’elle parvienne rapidement.

Mireille fut nue en un tour de main. En fait, sous sa blouse elle était en bas, culotte et soutien-gorge. Mabert qui décidément aimait les odeurs de chatte s’empara de la culotte et la renifla longuement. Puis il s’approcha de Sandrine toujours sur la table et lui appliqua le fond sur le nez. Sandrine reconnut le parfum capiteux de la femme excitée mêlé à quelques relents d’urine. Le tissu était gluant. Comme recouvert d’une gelée translucide épaisse.

- Vous allez vous mettre sur Sandrine, à contre sens afin qu’elle soit aux premières loges pour voir comment je vais investir votre anus.

Mireille se retrouva donc en soixante-neuf sur Sandrine qui regarda avec curiosité ce sexe couvert de poils blonds très longs qui remontaient sur le ventre et entre les fesses.

Quant à Mireille elle jubilait de voir cette chatte brune qu’elle avait fouillée si profondément, à quelques centimètres de ses yeux. Mabert vint se placer derrière le cul de son assistante et posa ses grosses couilles sur le front de Sandrine allongée sur le dos. La longue hampe chaude et vivante reposait, elle, sur son nez et le gland arrivait au dessus de son cou. L’odeur de chair chaude et secrète, mélange subtil de transpiration de sécrétions sexuelles et d’urine, la pris aux narines. Ça sentait fortement le mâle.

- Sandrine, veuillez écarter les fesses de Mireille avec vos mains, s’il vous plaît.

Sandrine avait écarté le sillon et évasant la raie poilue de la blonde, avait permis au doteur de disposer de ses deux mains pour les opérations à venir.

Il avait d’abord graissé la raie de vaseline et fait tourner deux doigts enfoncés complètement dans le trou du cul de son assistante. Puis, les quatre doigts tendus, il avait pénétré Mireille lentement, jusqu'au sommet des phalanges, en faisant tourner sa main. Il effectuait de petits allers et retours de quelques millimètres pour faire retrousser la muqueuse rouge qui, bientôt, formait un liseré de chair vermillon autour de sa main luisante.

- Pousse comme pour chier !

L'anus se révulsait. On aurait dit qu'il se retournait comme une chaussette. Quand ce liseré eut quatre ou cinq centimètres de largeur et qu'il format un large bourrelet vermillon autour de sa main, comme un bas de laine roulé (c'est dire que le rectum était presque complètement ressorti), Mabert ordonna :

- Ouvre bien, je vais y aller tout de suite à fond, ton sphincter est assez distendu.

- Oui ! Je suis prête ! Défonce-moi !

Mireille avait émis un grognement en faisant un effort qui écarquilla encore l'orifice pourtant monstrueusement béant. Mabert ferma son poing et le plongea sans résistance, d'un seul mouvement jusqu'au milieu de l'avant-bras. Mireille, en râlant, avait secoué violemment son gros cul pâle, comme un animal qui s'ébroue. Mabert enfonçait et retirait sa main jusqu'au sommet des phalanges à toute vitesse. Parfois, quand il était bien au fond, il tournait son bras dans tous les sens, comme un dément. Quand il l'avait pénétrée plus loin que le coude, Mireille s'était cabrée en faisant la grimace.

- Oui ! C'est bon ! C'est comme une fabuleuse envie de chier qui sort et puis entre de nouveau...

- Ton trou est énorme et boursouflé... Ton rectum se retrousse vers l'extérieur... Pousse bien aussi de ton côté... Tu mouilles du cul, ça coule comme de l'huile... C'est chaud dans ton ventre ma salope...

Il l'avait fait jouir plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle retombe inerte le visage vautré sur la toison de Sandrine. Son cul était toujours profondément empalé. Georges avait ensuite fait glisser sa main libre le long de son bras enfoncé dans le ventre et cette deuxième main avait pénétré dans l'anus abominablement distendu. Sandrine était fascinée et effrayée par le spectacle extraordinaire qui lui était offert à quelques centimètres de ses yeux

Bientôt, Mabert avait repris le pistonnage avec ses deux bras accolés émergeant du trou béant. Mireille râlait, gémissait, poussait sur son ventre pour écarquiller ses sphincters. Les bras allaient et venaient dans le fondement dilaté

- Pas si profond, ça fait mal... Implora Mireille

Mabert avait poussé jusqu'au milieu de son avant-bras musclé. Il se retira presque complètement et les sphincters ressortirent lui faisant une sorte de bracelet autour des bras. Les viscères, complètement retroussés au-delà de l'anus, formaient un cône rouge tronqué. L'ensemble évoquait le cul dilaté d'une jument en train de chier. Il lui aspirait le rectum à chaque retrait et rentrait le tout en s’enfonçant de plus en plus loin.

- Ah ! Putain, ce que c'est bon ! Mon cul est vraiment ouvert… Je jouis… Ça me fait de drôles de sensations jusqu'à l'estomac... Ah ! Je jouis... Et puis je pisse...

- Oui ! Pisse ! Répliqua Mabert. Pousse de toutes tes forces. Ça va dilater tes boyaux et faire de la place.

Il fallait que ses tripes soumises à ce rude élargissement prennent la mesure de l'intrus. Mais Mireille savait qu'ensuite, après quelques enfoncées brutales et douloureuses, son ventre ne serait plus que volupté. Chaque fois que Mabert arrivait presque aux coudes, les yeux de Mireille s'agrandissaient et sa bouche contre la chatte de Sandrine formait un O de surprise comme par sympathie avec ce qui s'opérait aux tréfonds de son ventre. Parfois un bref jet incontrôlé d'urine sourdait de son méat dilaté et allait arroser Sandrine qui ne perdait pas des yeux l'enculage. Mireille reniflait l'imbrication dégoûtante de chair juste sur son nez et une excitation malsaine la gagnait peu à peu. Elle avait envie de plonger à son tour dans le cul saccagé.

Quand Mabert avait retiré en même temps ses poings fermés, distendant comme pour un monstrueux accouchement le trou du cul de Mireille, et le tirant loin vers l'arrière, un flot de glaires brunes avait suivi se répandant sur le visage horrifié de Sandrine. Mireille avait copieusement pété. Un long pet à la tonalité caverneuse entrecoupé de gargouillis et de coulées que les gaz vaporisaient. L'anus était resté béant, souillé et luisant de mucus brun qui se déversait lentement.

Mireille avait rassuré Sandrine en lui disant combien c'était bon, mais elle avait avoué qu'elle allait s'en souvenir pendant au moins trois jours.

- Il ne me fait ça que rare

ment car il faut alors que je mette une couche en attendant que mon anus puisse de nouveau remplir ses fonctions naturelles de rétention. Tu veux me le faire à ton tour ? Dit-elle en lui présentant son cul et en écartant ses fesses à deux mains.

Sandrine avait plongé sans hésitation ses deux avant-bras dans l'anus béant. Ils étaient moins gros que ceux de Mabert, mais le pistonnage auquel le docteur l'avait encouragée avait fait encore jouir Mireille. Les avant-bras coulissaient jusqu'aux coudes dans un manchon huileux et chaud. Sandrine ne pouvait d'ailleurs pas les enfoncer plus loin, ses bras s'évasant vers ses épaules. Elle n'était pas assez forte pour écarter encore plus le gros trou qui l'enserrait. Le rectum était complètement ressorti, formant un énorme retroussis rouge autour des intrus qui pouvaient ainsi explorer en profondeur comme en largeur le gros intestin dilaté.

Quand elle ressortit ses mains, Sandrine était épuisée, presque autant que Mireille. Elle était tellement attentive à ce qu’elle faisait dans le cul de Mireille, tellement dans ce monde de perversion, qu’elle n’avait pas remarqué que Mireille avait embouché la queue de Mabert. Les grognements de ce dernier au moment où il éjaculait la ramenèrent à la réalité. Alors, Mireille qui était partageuse vint lui prendre les lèvres et partagea le paquet de foutre qu’elle n’avait pas avalé.

- C’est une prescription du docteur Mabert, boire du foutre à toute occasion, c’est bon pour le teint et pour le reste.

Mabert, toujours nu, avait regagné son bureau et dévisageait en souriant les deux femmes.

- Sandrine, voulez-vous revenir consulter plutôt lundi prochain ?

- Oh oui docteur, il le faut.

- Si vous le voulez bien, je donnerai ma consultation chez mon ami Chautiers. C’est un ami qui possède un haras. Il a trois superbes étalons dans la force de l’âge. Je suis certain qu’il acceptera de vous les confier pour vous faire couvrir. Bien sûr, Mireille sera présente. Elle a… l’habitude.

*****

Ce délire va s’arrêter ici. La suite est hors sujet sur ce site bien qu’il me semble me souvenir vaguement d’une certaine comtesse qui, devenue veuve, utilisait du sperme d’étalon comme médication. S’il y a beaucoup de demandes, il se pourrait que Sandrine se fasse « drainer » par les étalons sous la surveillance de Mabert et avec la complicité de Mireille. Il faudra bien sûr que aranam soit d’accord. Mais si mon mel peut être publié, écrivez-moi. Si votre courrier est intéressant, je prendrai du temps et même beaucoup pour vous répondre.



Note de l'éditeur : Ce délire semble prendre une tournure inhabituelle et ca ne me déplait pas de sortir des sentiers battus... Et puis tant que ca se passe sous contrôle médical on reste dans le sujet du site, donc ne vous gênez pas pour moi !

Aranam

*****

La série "Sandrine consulte" est un des meilleurs délires qu'il m'ai été donné de lire. L'innovation, les dialogues, les situations, les descriptions, les techniques utilisées; tout est très jouissif et mené avec une rare maîtrise, c'est du grand art. Bravo et vivement la suite !

Aranam

Partie 3

Sandrine passa une semaine de complet délire sexuel. Elle était devenue l’esclave de ses dérèglements et ne vivait plus qu’avec l’idée fixe de prendre par l’anus des volumes de plus en plus gros. Une variante du syndrome de « la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf ». Elle avait aussi gagné en profondeur et dépassait largement le fond de l’ampoule rectale. Elle passa ses jours et ses nuits à s’enfiler tout ce qui pouvait lui dilater le rectum. Des légumes bien sûr, mais aussi des fruits. Elle arriva à introduire quatre belles oranges dans son cul et pouvait rester des heures ainsi comblée, le sphincter anal refermé. Elle aimait beaucoup les restituer et passait du temps à les enfiler, les rendre et ainsi de suite. Elle buvait du thé sans arrêt et il n’y avait rien à reprocher à ses reins qui distillaient en continu une urine ambrée qu’elle laissait aller de temps à autre dans les paroxysmes de jouissance qui se produisaient de plus en plus souvent.

Elle retourna dans le sex-shop du centre ville pour acheter du lubrifiant en quantité (elle vida la réserve de vingt flacons de 33cl du magasin) et ce qu’il y avait de plus monstrueux. Elle réussit à tout absorber. En particulier un gode en latex de la forme d’un gros avant-bras d’homme au poing serré qu’elle s’enfonça, après de nombreuses tentatives, sur presque toute sa longueur, jusqu’à ce qu’elle se cogne l’estomac avec. C’est dire que son gros colon était, lui aussi, élastique. Mais elle préférait ce qui lui permettait de bouger, marcher, s’asseoir et vaquer à ses occupations, c'est-à-dire les oranges, les plugs, les aubergines. Un plug gonflable emporta ses suffrages durant toute une journée. De temps en temps, elle pressait la poire qui augmentait ainsi le volume devenu monstrueux de l’objet. L’aubergine de huit centimètres lui paraissait bien petite.

Elle attendait avec impatience le fameux lundi et se disait « je sais que je pourrai prendre une bite d’étalon dans le cul, je sens que j’y arriverai. Je ne veux pas décevoir le docteur Mabert. Et puis quand même : se faire enculer par une vraie bite de cheval ! Ce serait dommage d’échouer lors d’une telle expérience ! ». Le week-end avec son mari fut interminable et elle ne put se livrer à ses excès en sa présence. Ils firent l’amour deux fois, mais sans plaisir pour elle. Cela lui semblait tellement fade après ce qu’elle avait connu. Elle passa tout de même le dimanche jusqu’au lundi matin avec quatre oranges dans le rectum qui lui donnèrent quelques satisfactions.

Le lundi matin, elle prit un bain, se fit un léger lavement et se prépara pour l’après-midi dont l’évocation accélérait les battements de son cœur. Mireille passa la chercher vers treize heures comme elles en avaient convenu avec le docteur Mabert. Ce dernier devait les retrouver chez son ami Chautiers.

- Tu es prête ? Demanda Mireille. Les deux femmes se tutoyaient naturellement comme deux vieilles amies, bien que leur rencontre date de moins d’une semaine. Leur penchant commun pour les jeux anaux leur donnait envie de lier connaissance et d’être plus proches. Plus tard, elle conversait gentiment dans la voiture que conduisait Mireille.

- J’ai un trac fou. J’ai un peu peur en fait.

- Il ne faut surtout pas t’angoisser. Nous sommes habitués et tu n’auras que du plaisir, aucune douleur à craindre. Madame Chautiers est acupuncteur. Et même assez réputée. Elle te fera une préparation très excitante pour toi et très relaxante. Ton anus béant ne ressentira que du plaisir quand les étalons te pénétreront. De plus, ces mâles surdimensionnés sont bien dressés et savent exactement ce que l’on attend d’eux. Ils sont très doux et dociles. Ils savent qu’ils vont y trouver leur compte. Il n’y a vraiment rien à craindre. Les Chautiers sont bien connus dans un certain milieu un peu… spécial et savent mettre les gens à l’aise. Tu verras, c’est un couple de plus de cinquante ans, très cultivé. Mabert les connaît depuis plus de vingt ans et leur a présenté quelques unes de ses patientes triées sur le volet. Comme toi.

- Tu me rassures. Ainsi je ne suis pas la seule consultante qui… que…

- Non, mais tu es la seule qui ait de telles dispositions. Je vais te le dire crûment, je n’ai jamais vu un trou du cul aussi avide et aussi accueillant. Pourtant, j’en ai vu pas mal ! Mais à ce point…

- Merci, venant de toi, c’est un compliment.

- Et surtout capable de s’ouvrir aussi vite et aussi profondément ! Reprit Mireille. Mabert s’enfonçait jusqu’au coude dès la première fois.

- Mais toi-même, tu…

- Il a fallu plus d’un an avant que je prenne une main. Autant pour la deuxième. Encore est-ce grâce aux préparations de Madeleine Chautiers … Tiens, celle-là, elle va être folle de toi et de ton trou. Elle adore s’occuper de l’anus de jolies femmes complaisantes. C’est sa passion. Elle est un peu lesbienne. Enfin elle aime tout. Elle voudra certainement te revoir ailleurs que chez elle. Et seule. Elle va te demander de venir la consulter à son cabinet. Elle t’examinera profondément. Ses clientes sont bien choisies et la plupart du temps son cabinet n’est qu’un prétexte pour organiser des rencontres entre femmes très perverses. C’est fou ce que le contexte médical excite les gens. Comme je suis infirmière, je la seconde souvent. Je répartis mon temps entre son cabinet et celui du docteur Mabert. Monsieur Chautiers est bien sur au courant de tout. D’ailleurs, il participe parfois. Toujours dans un rôle soumis aux femmes. C’est très amusant et… croustillant.

- Tu la… vois donc souvent.

- Souvent, oui, c’est une femme remarquable et tellement perverse. J’ai quelques penchants qu’elle seule comprend et est capable de satisfaire. - Ah oui ? Lesquels ?

- Tu le sauras très vite et si tu es d’accord, nous lui rendrons visite toutes les deux. Je serais ravie que tu partages mes… goûts dépravés.

- Tu me mets l’eau à la bouche. Sache, Mireille, que tu me plais beaucoup et que je suis prête à tout partager avec toi dans ce domaine scabreux... Il ne s’agit pas de violence ou de torture au moins ?

- Rassure-toi, j’ai horreur de ça. Mon goût est plus anodin… Enfin… Puisque tu veux tout savoir…

Comme elle hésitait encore, Sandrine la supplia :

- Dis-moi, s’il te plaît ?

- J’aime la merde. J’aime cette matière vile et répugnante… J’aime voir un anus en plein travail, se soulager pour moi et le… déguster à ce moment si intime, si secret… Tu es choquée ?

- Comment le serais-je ? Moi qui n’aime rien tant que jouer avec mon anus. A quoi sert l’anus avant tout ? J’ai découvert les plaisirs associés à l’urine grâce au docteur Mabert, tu sauras bien me faire aimer ceux associés à la merde.

- Oh oui ma belle, je saurai. Madeleine et moi serons comblées de jouer avec ton anus encore plein. J’en mouille déjà…

- Oh moi aussi, je suis trempée…

- Depuis que j’ai vu la capacité de ton cul et le diamètre de ton ouverture, je ne peux m’empêcher de fantasmer sur le volume incommensurable de merde qu’il pourrait me donner. J’imagine ton anus béant en train d’expulser une profusion de merde, un torrent, une trombe de matière molle et boueuse qui me submergerait, me couvrirait, me noierait, me nourrirait… Rien que pour moi… Je serais ravie que tu partages ces jeux absolument dégoûtants avec moi Sandrine. Et puis tu sais, j’ai déjà goûté ta merde lors de ta dernière consultation. Tu étais dans les vaps et tu ne contrôlais plus ton anus. C’était délicieux, j’ai beaucoup aimé, mais je préférerais que tu le fasses en toute connaissance de cause. Le côté scandaleux, honteux, interdit… Tu comprends ?

- Oui, je comprends. Depuis que je consulte le docteur Mabert, il me semble que je vis dans un paradis de plaisirs contre nature. Je ne veux pas te décevoir Mireille, je te donnerai tout ce que tu veux et en quantité. Je crois que je me suis un peu rendu compte de ce que tu faisais la dernière fois. Je me suis dit ensuite que c’était mon imagination perverse qui me donnait ces idées infâmes. Tu verras comme j’irai au devant de tes désirs et de tes goûts Mireille.

- Oui, mes goûts… parce que je compte bien que tu me goûtes aussi…

- Oh oui ! Je te goûterai toute entière… Même ta…

- Tais-toi ! Tu vas me faire jouir…

La journée de début juin était ensoleillée et il faisait même assez chaud. Bientôt, la voiture franchit le portail d’une immense propriété et longea une longue allée bordée de hêtres plus que centenaires. Une magnifique villa apparut aux yeux ébahis de Sandrine. Elle remarqua à droite un manège et des dépendances reliées à la villa qui devaient abriter les écuries. Elle eut un frisson nerveux en pensant aux hôtes de ces bâtiments.

- Nous sommes arrivées. Jolie demeure n’est-ce pas ?

- Oui, très belle…

Elles sortirent de la voiture et montèrent les marches du perron. À peine Mireille eut-elle sonné qu’une belle femme blonde vint leur ouvrir.

- Bonjour Mireille !

Puis se tournant vers Sandrine :

- Vous devez être Sandrine, la description de Georges était parfaite. Sandrine retint le prénom du docteur Mabert et sourit à leur hôtesse.

- Je suis Madeleine Chautiers. Donnez-vous la peine d’entrer, Georges et mon mari discutent dans la bibliothèque.

Les trois femmes entrèrent et rejoignirent les deux hommes qui, assis dans de beaux fauteuils en cuir, se levèrent à leur entrée. Madeleine fit les présentations. Mireille et Sandrine se posèrent sur une chauffeuse à deux places en face des hommes. Madeleine s’empara de deux coupes de champagnes et les remplit avant de les tendre aux deux arrivantes. Monsieur Chautiers s’adressa à Sandrine :

- Georges m’a longuement parlé de vous Sandrine. De vous et de vos… capacités étonnantes. Ne craignez rien, vous êtes en bonne compagnie. Nous sommes entre adultes et nous savons parfaitement ce que nous faisons. N’est-ce pas votre avis Sandrine ?

- Heu, oui… Bien sûr. Je suis simplement un peu intimidée et…

- Les amis de Georges sont nos amis. Vous êtes ici chez vous Sandrine. Soyez la bienvenue. Nous ferons tout pour que vous gardiez de ce jour, un souvenir inoubliable. Je suis certain qu’il le sera. Nous allons faire connaissance en discutant de choses futiles, comme il se doit, puis nous passerons à la préparation. Il faut que votre anus soit parfaitement réceptif. Madeleine s’en occupera et vous verrez que c’est une véritable artiste en plus de ses qualités de praticienne. Ensuite, quand vous serez prête, nous nous rendrons aux écuries où Zulito, Saadi et Gatsby vous feront une fête que seule une femme telle que vous saura apprécier. Je propose un toast : « à votre plaisir, Sandrine ».

Tous reprirent en chœur et on eut bientôt vidé deux bouteilles de champagne. Mabert intervint alors :

- Je pense que Sandrine s’impatiente, Madeleine va s’occuper d’elle et nous allons assister à cette nécessaire préparation. Si vous voulez bien vous déshabiller Sandrine.

Le cœur battant, Sandrine se leva, vida sa flûte de champagne et se déshabilla en un tour de main. Cependant, Madeleine avait débarrassé la table basse. Elle y étendit une épaisse serviette éponge et invita Sandrine qui avait gardé ses bas, à venir s’y prosterner les seins écrasés sur la table et les fesses levées, offertes et ouvertes. Aucun sentiment de pudeur ne semblait animer Sandrine et elle paressait heureuse de s’exhiber devant des inconnus dans une pose aussi obscène qui révélait ses deux orifices intimes. Les poils noirs abondants jusqu’entre les fesses rendaient particulièrement bestiale cette position. Cette animalité presque vulgaire, en tous cas scandaleuse, était encore accentuée du fait que l’abondante pilosité sur la vulve baignait dans un liquide épais, odorant et gluant, témoignant d’un état d’excitation sexuelle extrême.

- Il faut que nous soyons certains que votre anus pourra recevoir les membres de nos étalons. Vous verrez, ils sont des sexes impressionnants et plus épais que le bras de Georges. Je vais vous préparer à les avaler comme vous avez avalé cette flûte de champagne. Votre anus doit être détendu, souple, l’anneau doit pouvoir se dilater brusquement sans dommage pour lui et il doit être bien lubrifié. J’ai une grande habitude de ces préparations. Ce sera pour vous très agréable bien qu’inhabituel. Je vais utiliser pour cela des aiguilles. Une fois que vous aurez subi cette séance d’acupuncture, votre anus sera complètement relâché et pourra recevoir ce qu’il y a de plus exceptionnel... Mireille peut en témoigner. C’est depuis que je m’occupe d’elle que Georges réussit sans problème à introduire ses deux poings fermés dans son rectum. Auparavant, il arrivait seulement à y mettre une main en longueur. N’est-ce pas Mireille ?

- Madeleine, vous êtes réellement une grande artiste et j’ai fait votre éloge auprès de Sandrine pendant le chemin.

Madeleine continua :

- Il faut préciser que si ce traitement autorise les plus extraordinaires dilatations, les sphincters ne souffrent pas de ces larges déformations sur le long terme. Une gymnastique musculaire a tôt fait de faire reprendre figure humaine, si j’ose dire, à cet orifice naturel que nous négligeons beaucoup trop compte tenu du plaisir qu’il peut nous donner. Mais Mireille est tellement gourmande que certaines fois il lui faut deux ou trois jours pour revenir à une situation… normale.

- Je prétends que le plaisir que j’en tire vaut bien ces quelques désagréments. Répondit Mireille. Et vous savez que pour moi ce ne sont pas vraiment des désagréments…

- Nous connaissons votre inclination pour la scatologie et nous essayons, chaque fois que c’est possible, de vous satisfaire.

Pendant ce temps, Sandrine s’était installée confortablement sur la serviette.

- Je vais donc, reprit Mireille, vous enfoncer, autour de l’anus, des aiguilles qui vont provoquer un total relâchement de vos sphincters. Vous ne sentirez rien, je connais l’innervation et l’irrigation sanguine de cette région par cœur. Il n’y aura même pas une goutte de sang. Votre trou sera gagné par un engourdissement puis une volupté que vous n’aurez jamais connue et vous n’aurez plus qu’un désir, celui d’être comblée, remplie. Vos sensations se résumeront à celles, extraordinaires, de votre cul. Vous allez devenir un trou à remplir, remplir, toujours plus. Et nous pourrons vous satisfaire…

Sandrine, le cœur battant la chamade, agenouillée sur la table, les fesses relevées et les seins écrasés sur la serviette, avait écarté les genoux. Tout le monde s’était approché de ce cul splendide, à la raie embroussaillée. L’odeur intime, âpre et entêtante de ses parties secrètes parvenait aux narines frémissantes. Madeleine tira sur les fesses pour évaser le sillon poilu trempé de sueur. L’anus, peu timide, se déplissa, s’ovalisa et ressortit dans le sillon.

- Si vous le permettez, Sandrine, je vais d’abord faire une toilette soigneuse de votre anus et de ses alentours avec ma langue. Vous voulez bien Sandrine ? Vous me feriez tellement plaisir.

- Oui Madeleine, vous pouvez faire tout ce que vous voudrez. Mon cul vous appartient totalement.

- Vous allez séparer vos fesses avec vos mains.

Sandrine obéit aussitôt et l’anneau fut étiré, prenant une forme ovale au milieu de laquelle le rouge vif des muqueuses tendres et luisantes apparaissait. Madeleine se pencha et renifla longuement la raie, allant du périnée au creux des reins plus haut que le coccyx.

- Votre cul sent délicieusement bon. Ce parfum de transpiration macéré dans vos poils est absolument sublime. Sentez ! dit-elle aux spectateurs.

Mireille se pencha et huma, en fermant les yeux, les exhalaisons sauvages que dégageait le cul avant de céder la place à Mabert puis à Chautiers. Un flot de morve blanchâtre et épaisse s’écoula du vagin et pendit sous le ventre de Sandrine s’étirant en un long fil jusque sur la serviette qui s’imbiba de l’offrande. Madeleine posa sa bouche sur la rondelle épanouie et sa langue agile entra en action. Un long moment on n’entendit que de petits bruits de succion et d’aspiration dégoûtants et les halètements de Sandrine qui semblait prendre plaisir à cette caresse honteuse. Madeleine aspirait la muqueuse dans sa bouche. La chair interne ressortait alors et elle enfonçait sa langue dans le trou pendant qu’elle mordillait délicatement le retroussis de viande chaude. Elle injectait alors de petits jets de salive tiède dans le rectum puis aspirait de nouveau pour déguster le breuvage qui avait pris du goût dans le conduit élastique. C’était la cause de ces bruits inconvenants qui émoustillaient les spectateurs attentifs. La sensation délicieuse était nouvelle pour Sandrine.

- Votre cul est savoureux Sandrine. Il m’excite et m’inspire. Vous êtes bien relâchée, ma langue entre très loin, mon traitement va vous conduire au bonheur…

Je pourrais vous bouffer le cul ainsi pendant des heures mais passons à la suite. Je sais que nous aurons d’autres occasions.

- Oh oui Madeleine ! Quand vous voudrez. Je vous le répète, mon cul vous appartient totalement..

Quand Madeleine se releva, l’anus, mou et ouvert, baignait dans la salive et les poils alentour étaient collés en mèches. Elle enfonça alors son index et son majeur réunis, sans brusquerie, mais d’un seul élan dans l’anus. Il semblait que la rondelle, telle une bouche affamée de nourrisson tétait les intrus. Madeleine allait en tous sens et le sphincter déjà souple se retroussait en émettant des bruits de mouillé incongrus.

- Vous êtes bien vide, il n’y a pas besoin de lavement. Dit-elle en souriant à Mireille qui semblait désolée.

Elle ôta ses doigts, les renifla et les suça comme s’ils sortaient d’un pot de confiture.

- Vous avez réellement bon goût, c’est un bonheur de vous manger le cul. Nous allons passer au traitement.

D’un étui de cuir, elle sortit un paquet d’aiguilles. Des aiguilles neuves sous emballage aseptisé. Elle déchira l’emballage et se saisit d’une aiguille longue et fine. Elle observa le cul de Sandrine et sans hésiter planta la banderille à quelques centimètres du bord de l’anus. Sandrine ne broncha pas. S’était-elle rendu compte ? Madeleine renouvela l’opération une vingtaine de fois. L’entrefesse ressemblait à une pelote d’épingles plantées en cercle. L’anus peu à peu semblait s’évaser, s’ouvrir, s’épanouir comme une fleur carnivore qui se prépare à la capture de sa proie. L’ouverture s’étirait. L’anneau se détendait, s’ovalisait. On aurait pu, maintenant, y introduire plusieurs doigts sans toucher les bords. Un mucus translucide luisait sur le pourtour et allait bientôt couler vers la chatte non moins épanouie et trempée. La région anale et vulvaire de Sandrine était un marécage tropical. Ce spectacle rendait muet les spectateurs qui respiraient pourtant bruyamment.

- Comment vous sentez-vous ?

- Merveilleusement détendue. Il me semble que mon anus vit sa vie indépendamment de moi. Je ressens une volupté inhabituelle, très douce, dans toute la région anale. Cela irradie jusque dans mon vagin et même mon clitoris que je sens dur, énorme, complètement ressorti de son capuchon de peau…

- Vous coulez abondamment Sandrine, voilà la raison de cette serviette. Vous mouillez d’une façon extraordinaire. Vos bas en sont même imbibés et votre anus commence, en effet, à vivre son envie de dilatation. Votre ouverture fait maintenant cinq centimètres de diamètre environ. Nous pouvons tous regarder dans votre trou. Il est rouge et luisant. Les parois de votre rectum sont parfaitement lisses et on voit votre anneau palpiter comme une bouche affamée. Ouvrez-nous encore votre trou. Montrez-nous comme vous avez besoin d’être remplie. Nos amis bandent comme des ânes, ils voudraient se vider dans votre cul. - Oui, maintenant ! Je veux me faire saillir. Homme ou cheval, peu importe…

- Nos hommes vont vous donner satisfaction. Je vais rendre votre trou accessible à ces verges humaines qui vont vous donner une avant goût de celles de nos amis chevalins.

Madeleine commença d’ôter les aiguilles plantées dans le pourtour du magnifique rond qui s’était formé et qui dévoilait une grotte rouge et luisante s’assombrissant vers le fond qu’on ne voyait pas. Sa besogne achevée, elle passa son index autour du trou. Aucune goutte de sang n’apparut même après le retrait.

- Je vais injecter dans votre jolie excavation un gel vasodilatateur de ma composition qui va vous exciter les terminaisons nerveuses du rectum car j’y ai ajouté un peu de cantharide. Cette gelée va donner à la verge de nos hommes la dureté du métal et retarder leurs épanchements. Il est possible, si la fatigue ne les prend pas avant, qu’ils s’ébattent dans votre anus pendant des heures avant de vous inonder de sperme. Vous allez vraiment prendre du plaisir et votre plaisir sera le notre Sandrine.

Elle prit une grosse seringue déjà remplie d’un gel épais et blanchâtre, lui ajouta un embout d’ébonite qu’elle vissa et introduisit en entier dans la rondelle. Elle pressa le piston. D’abord rien ne sembla se passer. Puis le gel blanchâtre ressortit mollement de l’anus et s’écoula vers les lèvres de la chatte déjà congestionnées. Madeleine ôta l’instrument et massa la vulve béante avec les écoulements qui sortaient du cul.

- Vous allez ressentir une grande volupté que nos deux mâles tenteront d’apaiser. Bien sûr, ils n’y arriveront pas et c’est seulement après que vous ayez été saillie par nos étalons et que leur sperme aura imprégné toutes vos muqueuses que vous trouverez un peu d’apaisement.

- Oh oui, je veux du sperme… Des litres de sperme… Vite, prenez-moi. Je n’en peux plus

Mabert et Chautiers s’étaient déshabillés entre temps. Nus, ils arboraient fièrement des sexes bandés impressionnants. Mabert, le premier pointa son gland luisant à l’orifice qu’il pénétra d’un seul coup à fond, venant cogner ses lourdes couilles contre la chatte béante de Sandrine. La pénétration fit un effet terrible à Mabert, non pas du fait qu’il enculait complètement Sandrine, mais à cause de la gelée excitante qui lui irradia toute la queue. Il se sentit capable de limer pendant des heures. Son érection était absolue, il lui semblait que sa queue était le prolongement de tout son corps et que son cerveau était capable de ressentir le moindre frémissement au fond de ce cul qui, pourtant, ne le serrait pas. Sa bite était un gourdin, une énorme matraque que les frottements contre la muqueuse, au fond de l’ampoule rectale conduisaient dans un monde de volupté qu’il connaissait bien. Sandrine allait avoir un avant goût de ce que pouvait être une véritable saillie. Il se démena comme un beau diable, essayant d’établir un contact étroit avec les muqueuses à vif. Sandrine, peu à peu parvenait à resserrer son anneau qui bientôt forma une large bague rouge couverte de mucus blanc autour du manche.

- Que c’est bon ! Allez-y ! Plus fort ! Plus profond !

Durant un très long moment, Mabert s’échina dans le trou exceptionnel. Fatigué, il laissa la place à Chautiers qui d’emblée adopta le même rythme et ressentit les mêmes sensations voluptueuses. Quant à Sandrine, elle ruait sous les coups de boutoir qui l’ébranlaient et gémissait comme une possédée en proférant des obscénités qui faisaient sourire Madeleine. D’ailleurs cette dernière s’était troussée et se masturbait la fente d’un index agile qui dessinait à travers la culotte de soie couleur saumon une traînée sombre d’humidité. Quant à Mireille, elle enviait la place de Sandrine et triturait ses gros seins comme si elle avait voulu en arracher les pointes. Sandrine, parfois s’oubliait sur la serviette d’un trait d’urine incontrôlé. Mireille ne put résister et vint se coucher sous elle pour prendre en bouche le fruit juteux et poilu. On ne vit plus les oublis de Sandrine, mais les déglutitions de Mireille témoignaient de leur fréquence et de leur abondance.

La chevauchée durait bien depuis trente minutes. Madeleine comprit que les hommes affublés d’un terrible priapisme, ne pourraient éjaculer sans une aide de sa part. Elle passa derrière son mari et fouilla sa raie poilue à la recherche de l’anus. Sans autre lubrifiant que la moiteur de cette raie, elle introduisit quatre doigts dans le fondement qu’elle connaissait bien. Elle trouva tout de suite la bosse de la prostate, dure comme un caillou et s’acharna à la frotter, l’exciter, la stimuler. En quelques minutes, Chautiers avait perdu la tête et éjaculait dans le cul de Sandrine un véritable lavement de foutre qui fouetta les parois et le fond du rectum hyper sensibilisé. Il continua néanmoins à ramoner ce trou offert et sous les stimuli de sa femme, il parvint en moins de dix minutes à redoubler le volume de sperme contenu dans l’anus. Brutalement il se retira laissant le trou du cul abominablement béant et retroussé. Le sperme refluait et s’écoulait vers la chatte comme de la lave blanche.

- Encore ! Remplissez-moi, j’en veux encore ! Du sperme ! Du foutre ! Videz-vous les couilles dans mon cul…

Mabert prit la place libérée et Madeleine qui léchait ses doigts sortis de l’anus de son mari, renouvela la pénétration dans l’anus du docteur. Là encore, elle trouva facilement l’organe à travers la mince cloison du rectum et le stimula habilement. Mabert était aux anges. Il sentait sa queue grossir, grossir, comme gonflée par une excitation incontrôlable. Il s’accrocha aux hanches de Sandrine en lâchant de violentes décharges de semence épaisse qui transformèrent la grotte en véritable réservoir à sperme dans lequel s’ébattait sa queue. Il n’avait pas débandé et, comme Chautiers, aidé par la caresse stimulante et précise sur sa prostate, il continua de baratter la grotte dilatée et pleine de sperme qui débordait et engluait l’imbrication de chair surchauffée. Une deuxième éjaculation aussi copieuse que la première provoqua de voluptueux remous aux tréfonds du rectum de Sandrine. Les deux amis avaient duré presqu’une heure entière. Ils étaient complètement épuisés. Madeleine était elle aussi dans un état d’excitation presque animal. C’est pourtant elle qui gardait la tête la plus froide alors que Sandrine réclamait une queue, des queues, du sperme pour son cul.

- Mireille, je crois qu’il serait opportun que vous remplaciez nos hommes. Utilisez les godes qui sont sur cette tablette ou bien vos main, mais il ne faut pas laisser Sandrine dans un pareil état. Elle va devenir complètement hystérique, nous devons la faire jouir.

Mireille se releva de sous Sandrine et se précipita sur le cul démesurément ouvert. Elle enfonça d’un trait son bras dans l’anus, poing fermé. La bague anale accompagna la pénétration et disparut dans les profondeurs du rectum pour réapparaître quand le bras se recula un peu.

- Hummmm ! Oui ! Je suis pleine… C’est bon ! Hurla Sandrine.

Mireille entoura son poignet qui émergeait de l’orifice mou, avec sa main encore libre et la fit glisser sans difficulté jusqu’à pénétrer l’imbrication de viande rouge du cul défoncé. Des reflux de sperme gluants ressortaient avec des bruits particulièrement obscènes et agrandissaient la tache humide sur la serviette entre les genoux de Sandrine. Mireille aspira salement un écoulement abondant comme elle l’aurait fait d’un spaghetti.

- Hummmm… Toute cette bonne sauce… Je veux boire dans ton cul quand tu seras remplie de foutre d’étalon.

- Oh Mireille, je veux te donner tout ce que contiendra mon cul… Tout sera pour toi…

Les hommes avaient repris leurs esprits et Madeleine était redevenue maîtresse d’elle- même. L’odeur de sperme, de corps surchauffés ne s’était pas dissipée et Sandrine était dans un état tel que Madeleine jugea le moment venu de passer aux écuries. Mireille colla sa bouche à l’anus qu’elle venait de libérer et qui crachait un mélange vaguement blanchâtre, très gluant. Mélange de sperme, de gel et de glaires anales dont on sait que Sandrine n’était pas avare. Elle aspirait tout ce qu’elle pouvait mais rien d’autre ne sortait. Sa passion pour la merde ne fut pas récompensée et elle abandonna bientôt l’anus resté béant. Le trou était complètement ouvert, difforme. Il faudrait un long exercice de tonification ensuite. Elle semblait maintenant capable de recevoir les sexes monstrueux des trois étalons qui piaffaient depuis un moment. Chautiers, leur propriétaire leur avait fait boire un aphrodisiaque qui aurait terrassé un être humain et dans la stalle voisine des leurs, se trouvait Solica, la jument opportunément en chaleur. Afin d’éviter qu’ils n’épuisent leurs réserves, ils étaient soigneusement entravés au moyen de rubans de soie. Madeleine et Mireille qui étaient encore vêtues se déshabillèrent et la petite troupe passant par un long couloir, rejoignit les écuries sans avoir besoin de sortir. Sandrine, dans un état second, se laissa entraîner.

#################################################################
the story ends here... if someone have the continuation of it, i'm interested.

here is the site where it has been found :
chapter 1 - [url="http://czclinic.com/speculumpages/French4/Sandrine.htm"]http://czclinic.com/speculumpages/French4/Sandrine.htm[/url]
chapter 2 - [url="http://czclinic.com/speculumpages/French4/Sandrine2.htm"]http://czclinic.com/speculumpages/French4/Sandrine2.htm[/url]
chapter 3 - [url="http://czclinic.com/speculumpages/French4/Sandrine3.htm"]http://czclinic.com/speculumpages/French4/Sandrine3.htm[/url]
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  • 2 months later...
[b]Je n'ai jamais lu, ni même imaginé une histoire aussi fantastique !!![/b][font="Arial Black"][/font]

Les fantasmes sont incroyables et particulièrement bien décrits !!!

Si vous en connaissez encore d'autres de ce genre, merci de me contacter : vicfoxfr@yahoo.fr
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  • 2 months later...
unbelievable fucking good story !!! well done to dig it out. will love to read the horse part??

all the stories you post are just so twisted and xtrem thanks !!
more stories most wellcome

great reads if Marquis de sade could be mixed with those modern fertile imaginations that will
be just.........
is there books like this stuff published ?
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[quote name='ultimate gigalo' date='26 October 2010 - 07:01 AM' timestamp='1288076492' post='215354']
yanu, do you have a larger image of your avatar?
i like how it's stretched out like that.
[/quote]

ok got it from there (cut from a screencapture)
http://julie-soumise.over-blog.com/10-index.html#

julie !! fantastic girl (not so old I think) if you understand read the story around the photos just
great

pity there no vids of her
and thanks for your stories any clue of modern sade books (fansadox in words)
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[quote name='yanu' date='26 October 2010 - 11:26 PM' timestamp='1288135573' post='215602']
ok got it from there (cut from a screencapture)
http://julie-soumise.over-blog.com/10-index.html#

julie !! fantastic girl (not so old I think) if you understand read the story around the photos just
great

pity there no vids of her
and thanks for your stories any clue of modern sade books (fansadox in words)
[/quote]


even better gapes jawdropping ones !!!
http://www.newbienudes.com/Photos/default.asp?AT=U&PT=P&newPC=&remgal=&PC=&SB=SuziFernandes&MyAction=+GO+&ST=&filter=b
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  • 2 months later...
[quote name='yanu' date='26 October 2010 - 10:18 PM' timestamp='1288160296' post='215640']
even better gapes jawdropping ones !!!
http://www.newbienudes.com/Photos/default.asp?AT=U&PT=P&newPC=&remgal=&PC=&SB=SuziFernandes&MyAction=+GO+&ST=&filter=b
[/quote]

sen all of SF's gapes. she hot though, but i liked the one in your other link. bitch has a HUUUUGE ass. DAYUM! :blink:
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  • 8 months later...
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